Lynda B.
Song plugging
Song casting
Bon voyage musical à travers les extraits de chansons sentimentales
De Lynda B.
Enregistrement vidéo maison
La vie c'est rien
Toi mon enfant
Dans ce monde sans passion
Tu connaîtras des déceptions
Il y naîtra
Toutes les saisons
Accroches-toi à ma maison
Dès que sonnera la pluie
Je couvrirai tes nuits
Je serai pour toi plus qu'une amie
Tu voudras bien certain ta liberté
Bien droits les murs pour gouverner
Ref.
Dis-toi bien
Que la vie c'est rien
Qu'elle coule entre tes mains
Suis ton chemin
Et prends ma main
Fais confiance à ton destin
-
Si j'ai choisi pour toi
Une autre vie
Une autre histoire
Par-dessus les lois
Je t'ai gardée
Je t'ai sauvée
J'ai vécu pour toi
Sans peur d'y verser des larmes
Uses de charme
Faut pas regretter
Faut avancer
Rien que pour l'amour
(À ma mère)
Sa vieillesse...
J'peux pas m'y faire
T'as oublié
Les mauvais jours
Arrêtes de m'attendre toujours
Je ne veux plus
Te voir pleurer
À ta place
Je le ferai
Je te donne
Ma place de bébé
À ton tour
De te faire gâter
Un peu de démence
Je t'ai devancée un peu trop vite
J'arriverai au bout de ta route
Sans que personne ne s'en doute
Ref.
Rien que pour l'amour
Chacun son tour
S'éteint le jour
Pas celui de ma mère
Je fais mes prières
Pour qu'elle reste sur terre
Son enfance
La misère
Sa vieillesse
J'peux pas m'y faire (bis)
Guylaine
Qui t'aime
Hervé
Tas guardé
Et moi
Le bébé
Arrêtes d'y penser
Malvenu
Le mauvais jour
Où je passerai en inconnue
Te bercerai
Comme un bébé
Écouter
Ta chanteuse préférée
Un peu de démence
Je t'ai devancé un peu trop vite
J'arriverai au bout de ta route
Sans que personne ne s'en doute
Elle lui pardonne
Il était mal parti dans la vie
Il buvait sous la pluie
Personne ne voulait de lui
Il est parti
En incompris
De lui-même
Il s'est détruit
Ref.
Elle lui pardonne
Elle lui pardonne
Pour oublier
Elle lui pardonne
Il a bu tout sa vie
À peine trente ans
C'était fini
Il est parti
En incompris
De lui-même
Il s'est détruit
Sa fille
Protégée par sa mère
Il n'a pu l'emporter avec lui en terre
Il a laissé sa misère
Ref.
Parti pour revenir
(Se voir attendu)
Un petit bis
Quand t'es parti
Une accolade
Une sérénade
Un senti
De ton abri
On se regarde
Déjà l'ennuie
Ton voyage
T'attire au loin
Ton bagage
À la main
En gage de retour
Nos yeux mirent l'amour
Ref.
Vas-t-en
Pour revenir
Se dire au revoir et bienvenu
Se voir attendu
Quand partir
Pour rester, on est dû
-
La traversée du parc
Dans la tempête
Aucun chemin
Ne t'arrête
Pour moi en vainc
Tu reviens
Aujourd'hui
Ballade de ma vie
Ref.
Sentir
Ton bonheur m'envahir
Nos désirs
À ne jamais partir
S'attendre
Que l'autre va offrir
Sa présence
En notre avenir
Ça me fait penser
Quand tu partais travailler
Le matin
Ton sourire au loin
S'encrer
Rester toute la journée
Même parti
On est dû pour rester
N'importe où
Je me sens toujours trop loin
Même quand nos corps se touchent
Quand dévoilée je me couche
Je consens, je ne dis rien
Je ne sais quoi t'offrir
Si ce n'est mon cœur en délire
Des tendresse à n'en mourir
Et mes yeux pour les lire
Mon amour est si fort
Plus loin que la vie
Au-delà des trésors
Tout mon être en est conquis
Ref.
N'importe où j'irai te chercher
Si tu crains de venir
Près de toi je resterai
Et comblerai tes souvenir
Tes projets se confondent aux miens
Ensemble, nous devons les réaliser
Complices, nous devancerons le destin
Et prendrons le temps de nous aimer
Mon amour est si fort
Plus loin que la vie
Au-delà des trésors
Tout mon être en est conquis
Ref.
N'importe où j'irai te chercher
Si tu crains de venir
Près de toi je resterai
Et comblerai ton avenir
Au début
À première vue
On s'est plu
Au début
Ce temps si beau
Fermer les rideaux
Au milieu
Seuls nous deux
Devenus vieux jeu
Au milieu
Plus d'enjeu
Les flots à flot
Soudain la fin
Demain pas si loin
Ne point se retenir
Vient la fin
Se voir partir
Sans revenir
Ref.
Final bâton
Parti pour de bon
Sur mon bureau
Sa photo
Trop haut, trop bas,
trop tard, son regard
-
Sa photo
Tombée du bureau
Plus rien de beau
Qu'une photo
Un regard de trop
Plus qu'il n'en faut
Le monde à dos
Maudite photo
Replacée sur mon bureau
Ouvrir les rideaux
Voir tomber la pluie
Toute la nuit
Je m'ennuie
Entrevoir
Mon auditoire
M'épier à mes pieds
Transpercer sa photo
Le voir aussi pleurer
Avant le dodo
En duo, nous coucher
Ref.
Pleurer
Hurler si fort
Les yeux fermés
Encore
J'ai cru son corps
En réconfort (comme au début)
Revenir au début
Pour dire un 'Je t'aime'sans plus
En un dernier salut
Il ne reviendra plus
Comme au début
Photo sur mon bureau
(Final bâton)
Je l'aime encore
Je suis téméraire
À l'idée de m'en faire
À l'abri temporaire
Qu'il m'offre encore
Une relation éphémère
Aie-je mes tors
Arriverais-je à bon port
Vais-je débarquer
Me laisser sur le quai
Aie-Je ma bouée
Le bateau va-t-il couler
Me laissera-t-il me noyer
Ref.
Dans nos désaccords
Je l'aime encore
Je l'aime encore
Jusqu'où je l'aime
Folle
Je l'aime encore
Dans nos désaccords
Je l'aime encore
-
Me fera-t-il payer cher
Les amants d'hier
Va-t-il me faire la guerre
Même s'il m'envoie par terre
Vais-je me relever
Ou caler dans la misère
Vais-je me réveiller
Dans un autre calvaire
Va-t-il vraiment m'aimer
Ou va-t-il m'abandonner
Je n'ose y penser
Mon amour j'y ai laissé
Ref.
Pour moi sera-t-il bon
Me fera-t-il faux bon
Au dernier jugement
M'échapper en mal aimé
Pauvre Pocahontas
Le Bandidos se tasse
C'est là que ça casse
De mes questions on s'en passe
J'aurais besoin
Je ne cesse de penser
À toi que je ne connais pas
Je ne peux m'en effacer
Je rêve que tu sois à moi
Chaque geste que tu poses
Je sens que c'est les miens
Chaque pas que tu déposes
Résonne de trop loin
Ref.
J'aurais besoin
Que tu me donnes
De la confiance
En mes désirs
Pour du moins
Je me pardonne
De mon enfance
De mes délires
En passant
Je te regarde
Mais tu ignores à quoi je pense
Je voudrais
Que le temps tarde
Pour enfin voir tes yeux qui chantent
Je t'aperçois
Je me sens ivre
De ton sourire qui me bouscule
De ton parfum qui me chavire
Je ne fais qu'une pendule
On me l'avait pourtant déjà dit
Ref.
On me l'avait pourtant déjà dit
On m'a avertie
De ne pas le fréquenter
-
Mais j'ai succombé
À son charme invétéré
Pour moi, Il a dansé
Il m'a utilisée
Il était si gentil
Il savait que j'étais bien nantie
Il m'a poursuivie
Telle une proie
Fragile de ses émois
Moi déjà piégée
J'ai tombé
Dans ses bras
Ref.
On me l'avait pourtant déjà dit
On m'a avertie
De ne pas le fréquenter
Je me suis divertie
Autant dans mes envies
Donner sans compter
Jusqu'au bout de ma vie
Il m'a attaquée
J'en ai payé fort le prix
Il m'a attaquée
Ne m'a pas abattue
Il m'a laissée respirer
Ref.
On me l'avait pourtant déjà dit
On m'a avertie
De ne pas le fréquenter
Il m'a conquise
Sur moi ses mises
Il a failli m'enrailler
Par chance que j'ai crié
Il est emprisonné
Mes cheveux arrachés
Mes pensées assommées
De blessures insurgées
Tout le monde libéré
Il ne m'a laissé
Que les jours de pluie
Qui tombent au fond de mes ennuis
Ref.
On me l'avait pourtant déjà dit
On m'a avertie
De ne pas le fréquenter
À la hauteur de rien
Ref.
Tu voyais bien
Que t'arrivais à la hauteur de rien
Jusqu'au banc des accusés
Il t'a repoussée
-
Il faudra te faire à l'idée
que ton chum t'a abandonnée
Avec les dettes de son passé
Comme avant, il fourre tout ce qui l'entoure
Sauf avec toi, c'est pas ton tour
Célibataire
Tu penses que t'es trop vieille
La veille l'appeler
Pour te décommander
En voulant le respect
À ne rien faire
Tous, tu les perds
Il t'a tellement dit
Que tu baisais avec n'importe qui
Ref.
Tu voyais bien que t'arrivais à la hauteur de rien
T'as essayé de l'approcher en dernier
Tu vois bien qu'il t'a reniée
S'en est allé un peu trop loin
T'as failli être emprisonnée
À bien y penser
T'étais pas sa dernière
Regardes maintenant
En avant, j'espère
Un autre bientôt viendra te plaire
Ton amour m'a laissée
Ton amour m'a laissée
Dans mes pensées
Dans ma tristesse
Je revois ta tendresse
Qui me blesse
En ces moments
_
Ref.
Je t'espère
À chaque instant
Le passé
Est oublié
Oui je t'aimais
Oui je t'aime
Mais tu es parti
Sans me l'avoir dit
__
Seule dans la nuit
Je m'ennuie
Tu as tout brisé
De notre amitié
Si tu reviens
Ce matin
Tu seras bien
Entre mes mains
Je t'attends
Depuis bien longtemps
Si tu ne reviens pas
Je ne serai plus là
J'ai besoin de toi
Pour me soutenir
Pour ne pas vieillir
Pour ne pas mourir
Sur tes seins
Envers ton amoureux
Ouvres tes yeux
Ton homme qui se donne
À son jeu disgracieux
Cette nymphomane
L'a attiré telle une manne
Une pomme à croquer
À l'aveugler
Ref.
Comme une charrue
Tout le monde passe dessus
Tomber ton homme
Dans le trou d'homme
Tu ne vois plus ses mains sur tes seins
Sauf sa langue entre ses jambes
Juste ça, ça serait rien (bis)
-
S'ils baisent devant tes yeux
Demande à Dieu ce qu'ils font ailleurs
De sa maîtresse il s'éprend
Dans ta face il te ment
Un coup assez bas
À voir leurs ébats
Ta présence
N'a aucune importance
Après leur transe
Vient ta nuisance
Inoubliable
(Dans les limbes)
Inoubliable
Tous rejoindre
Dans les limbes
Nul besoin de timbre
Simple, le timbre de sa voix
Palpable
Votre présence
De quoi, d'invraisemblable
Effleurer, la démence
Du bout des doigts, je pense
En transe
Rassembler mes semblables
En toute divinité, en vérité
Comme personne n'imagine
Mention, presque palpable
Apparaît
Telle une fable
Destinée aux morts-nés
Sans mot dire
Se divulguer
En pensée, communiquer
Une façon de commencer
Sur un son de clavier
Chanter
Sentiment de sérénité
Sans discuter se retrouver
Au pied de son clavier
Sur un même pied d'égalité
Quand elle cessera de jouer
Là-haut
Vous repartirez
Sur cette note inachevée
N'importe qui
(Auteure des paroles)
N'importe qui peut pleurer
Lorsqu'il est seul et affamé
Tombent tour à tour ses amours
Quitte à son tour la lueur du jour
N'importe qui peut sourire
Après ses instants de délires
Frapper par terre à en maudire
Celle disparue qu'il ne verra plus
N'importe qui peut souffrir
D'un mal à n'en plus finir
Jusqu'au martyre de ses délires
On va tout faire pour le retenir
Ref.
N'importe qui peut chanter
À condition de rester
Faire semblant de m'écouter
Sans en sentir ses tripes serrer
-
N'importe qui peut mal aimer
Un blesse l'autre en premier
À force de trop de retenus
Nos mains trop loin se dirent salut
N'importe qui peut en finir
Tout démolir anéantir
Son choix à lui de partir
Avant son temps plus de respire
N'importe qui peut travailler
Pour oublier les oubliés
De ses personnes ensevelies
Trop jeunes parties n'ont point vieillies
Sur mon divan
Viens coucher sur mon divan
En attendant le soleil se lever
Discuter tendrement
Avant de t'en retourner
Calmes-toi
Viens près de moi
Tu trouveras le respect
que tu méritais
Havre de paix
Belle, quand sur tes joues
Coulent tes larmes
Dans tes cartes
Joues ton atout
Le cœur te désarme
Tant de ravins longent ton chemin
L'hiver sur les bancs de désespoir
Tu t'y perds
Te voir chez-moi tous les soirs
Pur hasard, tu reviens
Recommencer à zéro
Pour lui n'en demande pas trop
Il te prend à défaut
Étalant à jour tes défauts
Trop de soirs de désespoir
T'as tors encore et dehors
Ne tombes point dans les ravins
Chez-moi reviens en vainc
Sur ton chemin
En retour
Dis-lui bien
Que je ne te demande rien
J'aurais fait de même
Pour un chien das un ravin
Y'en a qui savent pas vivre
Toi qui ne l'as pas vu souffrir
Encore moins partir
Comment peux-tu dire
Qu'il a fini de souffrir
Me dire qu'il est mort en enterré
Ref. Y'en a qui savent pas vivre
Divaguer dans mes pensées
Imaginer l'autre côté
Il reviendra quand il voudra
Qu'est-ce qu'il l'empêche de me border
C'est pas fini
Il n'a rien apporté avec lui
Il viendra me visiter
Dans mes rêves éveillés
Me dire ce qu'il fait de ses journées
Ici rien de dérangé
Y'en a qui déménagent
S'en aviser le pâturage
Ref. (Bis)
Pour souper je lui sers un couvert
Je fais un chin chin
Avec les coupes en verre
Il n'a pas d'appétit
Tôt au lit, même routine
Une autre soirée esseulée
Je finis le vin et je lave les assiettes
Il joue à la cachette
Je ne le trouve jamais
Je ne sais pas comment il fait
Une question de boisson
Il est partout dans la maison
Je fais brûler un lampion
Pour mon grand champion
Il s'éteint soudain
Comme mes larmes dans le bain
Un peu de sa faute
Si je souffre un jour ou l'autre
J'ai pas appris à vivre
Dans les livres
J'ai pas appris, j'ai bien appris
Pas de danger qu'il entre cette nuit
Quand j'ai de la peine ça l'ennuie
Quand j'ai plus de cent, pas si certaine
Quand il disait une vérité
Signe qu'il s'était trompé
Il me laisse libre comme le vent
Ça coûte cher, à chauffer en hiver
Ref.
Je t'attends depuis plus de vingt ans
Ton enfant a vingt-quatre ans
Elle parle maintenant
Elle a tes yeux bleus
Regardes tant d'années manquées
Depuis que tu as mis fin à ta vie
30 ans c'était fini
Veilles sur elle
Du haut des cieux, qu'est-ce tu veux
Ref. (...Y'en a)
Je sens que tu fais de ton mieux
Lui donner ce qu'on a pas eu nous deux
Elle ne connaîtra pas la rue
Pis moé j'ai-tu fini d'en baver
Viens me réconforter
Guéries mes mes maladies
Tu es là certain
Pour être toff comme je suis
Soustrais-moé une journée
Du calendrier
Où je ne penserai pas à toé
Ça fait donc bien mal s'émanciper
Une grosse boule en-dedans
Ensemble on va pleurer
Ça va bien se passer
Coudons, fallait-il boire
Pour raconter cette histoire
Après tant d'années d'enterrement
De vie de garçon
J'te laisse aller fêter de l'autre côté
Si tu penses t'égayer, maries-moé
Pis toé t'as vingt-neuf ans
Pis moé, j'arrive à cinquante ans
Ça peut pas toujours aller
Mais arrêtes mon mal de perdurer
Y'as-tu juste moé d'abonné
À des sites préhistoriques
Je viens de fermer le dernier
Elle n'est pas sa mère
(Histoire fictive)
Vergetures
Tout ce qu'une mère endure
Grand enfant
Immature
Sans parents
Cet enfant n'a aucun souvenir
se réjouissant
de mes jours à subir
Trop de feu sous l'essence
De répugnance, d'insouciance
Son passé en l'absence
D'une mère inconnue
Qu'elle ne se souvient plus
De l'avoir vu
Ref.
Elle ne se rappelle plus d'elle (bis)
Elle n'est pas sa mère
-
L'argent au bout des doigts
Présenta sa tante à ses amies déjà
Blanchiment de tête d'enfant
La science infuse
Se croyant et accuse
À bout portant
Une personne qu'elle n'a jamais vu avant
Du moins, elle ne s'en souvient point
Reniant son existence
Sa présence en tant que sa mère
Dès l'enfance
Aucune connaissance
Où est la reconnaissance
Un peu de misère avec un enfant
Un air courant en hiver
Rares sont les enfants
Qui ne se souviennent guère
Du visage de leur père
De leur mère
Elle ne s'en souvient pas